Les amateurs de JdR ont en général des avis marqués sur les jeux qu’ils pratiquent et sur ceux qu’ils ne pratiquent pas. Cela conduit souvent à des guéguerres sur les qualités et défauts respectifs de différents jeux « concurrents » ; en général, à grands renforts de critiques sur le jeu « adverse » (ou l’édition, dans le cas d’une opposition entre ancienne et nouvelle éditions).
Je ne fais pas forcément exception, d’ailleurs, même si ça fait bien longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de « débattre » des mérites respectifs de deux jeux ou éditions. Mais j’ai bien aimé ce billet, d’un blog que je ne connaissais pas, et qui explique pourquoi, dans ce genre de discussions, ce n’est pas les aspects négatifs du jeu adverse qu’il faut mettre en avant, mais les points positifs de son propre jeu : comme l’auteur le dit lui-même :
When you are being an edition or system warrior, you are trying to ruin someone else’s fun.
Et ça ne vaut pas forcément que pour les comparaisons entre JdR…
Toujours, c’est le positif qui doit etre promus!
(sorry, I like to pretend I can speak French still, and I do it well with a few beers in me, but I’ve long ago forgotten how to write it well)
Hi!
I didn’t expect you to comment here… :-)