Dans un discours obscurantiste prononcé aujourd’hui en Corrèze, le président le plus bas dans les sondages a affirmé que sortir du nucléaire revenait à « se couper un bras » (14h08).
Ne pas en sortir (ce qui prendra de longues années et doit donc être initié le plus tôt possible) revenant à se tirer une balle dans la tête, on appréciera à sa juste valeur le choix éclairé (à la pile atomique) du despote.
C’est peut-être qu’en ce qui le concerne, le cerveau n’est pas un organe vital ?