Faut il ou non détruire les derniers stocks de virus de maladies officiellement éradiquées, comme la variole (ou plus récemment, la peste bovine) ?
En général, les partisans du non invoquent la possibilité de fabriquer des vaccins en cas de réapparition de la maladie (suite par exemple à un acte de bioterrorisme).
Mais voici un autre argument à prendre en considération…