Un bon coq n’est jamais gras

Dans la foulée de la conversation évoquée précédemment, la collègue en question s’est interrogée sur le sexage des poussins. Une autre collègue, spécialiste des volailles, lui a brièvement expliqué qu’on se basait désormais sur des gènes de sexage conditionnant la couleur du plumage, par exemple roux pour les femelles et blanc pour les mâles, qui, incapables de pondre par définition, donc sans valeur économique dans la filière poules pondeuses, étaient aussitôt sacrifiés.
Et comme les deux, après une allusion à une troisième collègue rouquine, se mettaient à fixer ma canitie partielle avec un petit sourire en coin, je leur ai fait remarquer qu’on épargnait les meilleurs sujets, conservés pour la reproduction…

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