On va avoir un deuxième stagiaire, ce lundi.
Et comme pour celle de la semaine dernière (qui était bien motivée, mais à qui je n’ai pas pu proposer un stage idéal, faute d’avoir eu le temps de le préparer correctement, d’une part, et également parce que l’organisation de mon poste actuel me rend délicat l’encadrement des stagiaires, au contraire de mon poste précédent), j’ai été prévenu au dernier moment.
En tous cas, je trouve bien qu’on impose désormais aux futurs confrères de faire un stage leur faisant découvrir les aspects « annexes » de la profession, aspects qui de notre temps étaient cruellement absents de notre formation, qui en était d’autant plus éloignée de la réalité du terrain professionnel.
Car si j’avais eu la chance de faire ce genre de stages, je n’aurais pas eu à me poser la récente question de mon changement éventuel de poste : le poste que je n’ai finalement pas voulu prendre il y a quelques semaines, j’y serais sans doute depuis une douzaine d’années, car je l’avais déjà refusé à la fin des années ’90, croyant à tort ne pas être fait pour ce genre de boulots, alors qu’on me l’avait simplement très mal présenté.