La mode musicale (mais pas seulement elle…) est aux reprises, ces temps ci.
Malheureusement, l’original est souvent meilleur que sa reprise :
– Snapshots, album de reprises de Kim Wilde, pas terrible, et dans lequel j’ai été surpris de ne pas trouver sa version du Born to Be Wild de Steppenwolf dont elle a pourtant fait un clip il y a quelques années (clip déjà présenté sur cet écran d’ailleurs).Par contre, elle a (entre autres) repris To France de Mike Oldfield, une nouvelle version qui n’est au niveau, ni de l’original, ni de la reprise par Leaves’ Eyes plus tôt cette année.
– Une voix pour Ferré, de Catherine Lara.Ce sont (quelle surprise !) des reprises de textes de Léo Ferré. Et là aussi, c’est très moyen.
Finalement, la bonne surprise parmi les reprises est venue d’un album de l’année dernière, qui n’est pas un album de reprises :J’avais zappé la reformation de Pigalle, qui date pourtant d’il y a quelques années.
Bon OK, en fait de reformation, François Hadji-Lazaro est le seul cité sur ce nouveau disque, Des espoirs, et ça donne un peu l’impression qu’il poursuit sa carrière solo sous le nom de son ancien groupe. Du coup, c’est un peu différent de ce qu’il(s) faisai(en)t avant, mais ça n’en est pas moins plutôt bon.
Et donc, sur ce disque figure une reprise, celle de Il faut que je m’en aille, de Graeme Allwright, que j’ai bien aimé.
Et sur cette vidéo, on peut constater qu’en concert, François Hadji-Lazaro est entouré d’autres musiciens…