Décidément, moi qui jusqu’à très récemment n’avais jamais rêvé de JdR malgré de longues années de pratique, voilà deux nuits de suite que ça m’arrive…
Cette fois ci, je jouais à Légendes celtiques (ce qui ne nous rajeunit vraiment pas, d’autant que c’était la version règles complètes !).
Tout ce dont je me souviens, c’est que je vivais la scène à la place de mon perso, mais plus ou moins habillé et équipé comme je l’étais autour de la table. Nous étions d’ailleurs assis autour d’une table avec les autres persos, dont à ma droite le Paternel (qui n’a pourtant à ma connaissance jamais pratiqué le JdR de sa vie !) qui incarnait une sorte de barde sage. De l’autre côté de la table, une joueuse (que je ne connais pas et qui ne correspond d’ailleurs sans doute à personne de précis) se préparait à nous trahir (avec un autre joueur dont je n’ai aucun souvenir), mais j’ignore comment j’étais au courant. Toujours est il que j’étais en train de mettre la main dans ma poche pour me préparer à en dégainer rapidement mon canif en prévision de la confrontation imminente (enfin, dégainer rapidement… il m’aurait encore fallu déplier la lame, on a fait plus rapide) sous l’œil soupçonneux de la future traîtresse qui me demandait ce que j’étais en train de faire, et je lui sortais une explication pipeau au sujet d’un objet se trouvant dans la bourse de ceinture de mon perso quand je me suis réveillé.
Mais côté récurrence, j’ai fait encore plus fort avec un rêve précédent dans la même nuit, car voici quatre nuits de suite que je fais des rêves dans lesquels figurent des gens de mon ancien boulot… Cette fois ci, j’étais à Lyon avec deux de mes (anciens) subordonnés ; mais les rues de la ville n’avaient pas franchement de rapport avec ce que je connais de la capitale des Gaules. Toujours est il que nous étions dans une Supercinq bordeaux conduite par l’un de mes anciens collègues, et que nous avons fait une longue marche arrière pour remonter une côte très raide (à un point tel que je doutais que le moteur soit suffisamment puissant pour nous permettre d’atteindre le sommet), avant de redescendre de l’autre côté (moins raide, mais toujours en marche arrière). Pourquoi nous n’avions pas simplement fait demi-tour, voilà qui restera un mystère, comme les souvenirs oniriques en laissent bien souvent…