À signaler suite à ma promenade internaute quotidienne, nocturne plutôt que vespérale aujourd’hui :
– après une grosse dizaine de jours en rade, le blog de Tonton Alias est à nouveau en ligne. En attendant la résolution des problèmes techniques, il avait ouvert un blog (toujours à part, évidemment) de secours, mais encore aurait-il fallu en connaître l’existence.
Tu sais, je ne t’en aurais pas voulu si tu avais fait ta pub’ dans un commentaire ici-même (bien que je doute, vu le caractère semi-intimiste (voulu et revendiqué) de ces lieux, que cette pub’ aurait eu une réelle visibilité…)
(spasme de WordPress qui a posté le présent billet avant que je ne l’ai terminé)
– ensuite, j’ai pas spécialement été enthousiasmé par la dernière note de Boulet, mais le bonus par contre (qu’on ne peut comprendre que par rapport à la note) m’a bien plu (bonus visible tout en haut des commentaires).
C’est gentil de penser à moi, mais je crois en la vertu des commentaires à propos. Tu aurais fait un billet pour te morfondre sur l’absence du blog, j’y aurais mis un commentaire pour signaler le blog de secours.
Pour le reste, je n’en ai fait la promo que sur Facebook, Twitter et Google+ (et quelques forums).
Certes, mais tu pouvais toujours le glisser à la fin d’un commentaire « en rapport avec la choucroute ».
> Tu aurais fait un billet pour te morfondre sur l’absence du blog
J’en étais à deux doigts… ;-)
En fait, j’attendais ton éventuel prochain commentaire pour te poser la question.
Ça rappelle les blagues semi-racistes sur le mouvement perpétuel par des stéréotypes culturels qui se doivent de l’argent parmi.
Gné ?
De même que j’attendais que tu postes un billet pour commenter sur un sujet pour lequel tu attendais que je poste un commentaire, le mouvement perpétuel était défini dans ces blagues comme un Juif courant après un Écossais qui lui doit de l’argent.
Ce badoum-ching vous est offert par le vingtième siècle.
Si jamais j’avais connu cette blague quelque peu pourrite, ça faisait bien longtemps qu’elle m’était sortie de l’esprit (mais il faut dire que, même s’il m’arrive encore à l’occasion d’en sortir une, j’ai dépassé très tôt le stade des blagues « ethniques », la limite entre humour (de plus ou moins mauvais goût) et racisme étant trop souvent poreuse à mon goût).
Dans le cas présent en tous cas, c’est le contraire de la blague : si chacun attend que l’autre bouge le premier, c’est l’immobilisme perpétuel ! ;-)