Des pattes, oui, mais des Locusta

Notre recrue d’été, actuellement en première année de fac de bio, a quelques matières à (tenter de) rattraper dans les jours qui viennent ; aussi met elle à profit les moments de répit que lui accorde le boulot qu’on lui fait faire pour avancer dans ses révisions (mais vues les conditions pas franchement calmes qui règnent autour d’elle dans ces moments, je doute que ça lui soit très profitable).
Ce matin, elle avait donc laissé son classeur de biologie animale ouvert sur la table. J’ai donc pu jeter un œil à la page en question, afin de m’assurer que je n’avais pas trop perdu depuis mes lointaines études. J’ai un peu baissé, mais j’ai l’impression que ça reviendrait assez vite si besoin était.
Par contre, il y avait quelques fautes d’orthographe dans ce qu’elle avait écrit ; dont une récurrente un peu cocasse, parlant des pâtes du criquet.
Pâtes qu’il conviendra de consommer bien cuites, car si j’en crois la Notice provisoire de survie au combat que j’avais pu compulser à l’époque où j’étais fringant militaire, « les sauterelles contiennent des parasites dangereux » (sans qu’on y explique quels sont ces parasites ; mais il est vrai que ce n’était pas le propos de l’ouvrage).

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