Quand il n’y en a qu’un, ça va ; c’est quand il y en a plusieurs que ça pose des problèmes

Entendu au boulot, au sujet d’un ouvrier de l’usine :

« Ah mais lui c’est pas un Arabe, c’est un Marocain. Ils sont moins chiants. »

Indépendamment du fait qu’un Marocain n’est pas plus arabe qu’un Algérien ou un Tunisien, je n’ai hélas pas eu le réflexe de demander à la personne ayant proféré ce propos si, conformément à la classification ethnique employée par un ancien sinistre de l’intérieur (dont j’ai probablement déformé la phrase dans mon titre), ce n’est pas « un Arabe » certes, mais est ce pour autant « un Auvergnat » ?

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