Orage, ô désespoir

Encore des orages ce soir, histoire de faire baisser un peu la température vers la zone acceptable.
Comme hier soir, il y a eu de la grêle. Il y en a même eu à plusieurs reprises. Dont une fois où c’est tombé tellement dru que ça couvrait le son de la chaîne, dont les enceintes sont pourtant juste devant moi. Et je n’écoutais pas une berceuse, mais du metal…
Le jardin était blanc de grêlons pas encore fondus. J’espère qu’il n’y aura pas eu de casse dans le potager, j’ai pas mal de courgettes bonnes à manger mais dont j’attends qu’elles soient plus grosses pour les récolter.
Les orages de grêle deviennent quand même de plus en plus fréquents. Depuis que je suis ici, il y en a chaque été, et pas des petits. Je n’ai pourtant pas souvenir qu’on en avait tant quand j’étais gosse… Est ce dû aux changements climatiques, ou y a t-il un climat différent ici de quelques dizaines de kilomètres plus loin dans le même pays ?

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Une réponse à Orage, ô désespoir

  1. Vaken dit :

    Je viens de combler une lacune dans ma culture générale en lisant 20.000 lieues sous les mers. Et on y trouve plusieurs passages du genre de celui-ci :

    À sa sortie du canal de Bahama, sur quatorze lieues de large, et sur trois cent cinquante mètres de profondeur, le Gulf-Stream marche à raison de huit kilomètres à l’heure. Cette rapidité décroît régulièrement à mesure qu’il s’avance vers le nord, et il faut souhaiter que cette régularité persiste, car, si, comme on a cru le remarquer, sa vitesse et sa direction viennent à se modifier, les climats européens seront soumis à des perturbations dont on ne saurait calculer les conséquences.

    Ca m’a franchement laissé sur le cul.

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