Va falloir cravacher

Journée calme au boulot.
Comme je tempérais l’impétuosité de la collègue qui me faisait office de binôme, en tentant de lui expliquer que ça ne servait à rien de se dépêcher de redescendre aussi tôt dans l’usine, et que s’il y avait eu un coup de bourre, on nous aurait déjà appelés, elle a déclaré à mon sujet quelque chose qui était en gros « Y a pas moyen de le bouger ces temps-ci ». Ce à quoi la collègue qui sera ma binôme vendredi (demain étant férié), qui se trouvait avec nous dans le bureau et qui fait de l’attelage pendant ses loisirs, a répliqué : « Vendredi, j’amènerai ma cravache ».
Phrase malheureuse qui a évidemment aussitôt fait dériver la conversation vers des grivoiseries sado-maso (un peu comme la fois où mon adjointe m’avait menacé d’une fessée)…
Je lui ai dit de ne pas oublier ses cuissardes, j’espère qu’elle va y penser !

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