Araignée du matin, chagrin

Rêve assez impressionnant cette nuit, avec une araignée géante, une veuve noire haute d’1m20 (quoique quand j’en ai été assez près, je l’ai évaluée plutôt aux alentours de 90 cm) mais très lourde (sans doute plusieurs quintaux), agressive et meurtrière (du genre qui tue tout être humain sur son passage).
Me rendant compte que l’affronter sans arme serait du suicide, j’avais foutu le camp en courant à sa première apparition (dans un local bizarre tenant à la fois du cinéma et du centre commercial et où j’avais auparavant eu le déplaisir de tomber sur un ancien camarade de promo avec lequel je suis en froid depuis la présidentielle de 2007), m’emparant au passage de trois ou quatre piquets de bois vaguement pointus à une extrémité pour m’en servir d’épieux, pour tenir le monstre à distance et pour le tuer, car je comptais bien vaincre la bête. Poursuivi d’assez loin par la créature, je traversais (à pied) tout l’ouest lyonnais jusqu’au cœur de la capitale des Gaules, où je finissais par trouver refuge dans une sorte de traboule souterraine tenant de l’égout et de la galerie de mine, où l’araignée arrivait à son tour.
Malheureusement, je me suis réveillé avant d’avoir pu l’affronter et la tuer (car l’issue du combat ne faisait aucun doute pour moi en tant que rêveur, à défaut d’être aussi claire pour moi en tant que protagoniste du rêve), ce qui est plutôt frustrant.

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