Mess with the best, die like the rest

Voilà, c’est fait : j’ai en principe contré les magouilles de mon fouteur de merde habituel avec mes propres contre-magouilles (qui ne sont pas vraiment des magouilles, en fait ; juste mon boulot normal de cadre rendant compte de certains problèmes à la direction). Sauf que moi, j’ai sorti l’artillerie lourde et j’ai pilonné sa position, avec une précision aussi chirurgicale que possible et sans même dépenser toutes mes munitions (la directrice m’a même tendu une perche pour l’enfoncer encore plus, que je n’ai pas saisie car ç’aurait été injustifié).
J’en connais un qui a eu de sacrés acouphènes aujourd’hui, et qui devrait avoir une sacrée désillusion d’ici quelques mois (sauf renversement de situation auquel je ne crois pas, même si je serai soulagé quand la situation aura été officiellement réglée).
D’ici quelques mois, mais pas avant, pasqu’une magouille bien faite, il vaut mieux éviter d’en parler dans la foulée aux personnes concernées ; surtout quand il est encore possible de la tuer dans l’œuf (encore que je me suis senti obligé de prévenir la probable première victime de ladite magouille, afin d’éviter qu’elle ne se mette en arrêt pour dépression, vu qu’elle était déjà depuis trois jours en limite de la crise de nerfs ; j’espère qu’elle réussira à tenir sa langue comme je le lui ai demandé, et tant pis pour le reste de mon équipe, moins directement visé, qui va stresser inutilement jusqu’à la fin de l’automne). Je lui laisse la surprise de voir ses manigances contrecarrées au moment où elles auraient dû porter leurs fruits.
J’espère arriver à feindre l’étonnement de façon suffisamment crédible le moment venu…

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