Encore vu tout à l’heure (comme quasiment tous les jours) dans mon jardin (où il est grand temps que je passe enfin un coup de tondeuse, sinon faudra ressortir la débroussailleuse) le chat qui vient régulièrement chier pile là où j’ai semé mes salades.
Cette fois ci, il était en train de buller, tranquillement installé sur le puits. Mais ce qui m’a surpris, c’est qu’il était en compagnie de DEUX de ses congénères (dont un que je pense avoir vu une fois, lundi dernier ; mais comme ces deux nouveaux venus sont noirs, pas facile de savoir lequel des deux c’était…), et que tous les trois étaient tranquillement couchés sur le puits, les uns à côté des autres, paisiblement (essayez de mettre en présence deux chats de gouttière qui se partagent un même jardin, ça m’étonnerait que ça se passe comme ça).
J’ai donc voulu les prendre en photo, à travers une fenêtre pour ne pas les perturber et les faire fuir, mais le temps que j’aille chercher l’appareil (qui en plus était déchargé…), deux d’entre-eux venaient tout juste de partir ensemble vers le jardin d’à-côté. Tant pis pour la photo de groupe… Mais j’ai peur que l’occasion ne se reproduise pas.
(le titre de ce billet est dédié à Vaken, en souvenir d’une anecdote qu’il m’avait racontée au siècle dernier…)
Purée, quelle mémoire !
En lisant le titre, j’ai tout de suite vu de quoi il était question. Mais que toi tu t’en souviennes, je suis épaté.
Car c’était vraiment il y a une éternité. Le gamin effrayé par les lions, maintenant, s’il vit toujours chez sa mère, il gagne sa croûte tout seul comme un grand (d’ailleurs, il fait pas loin de 1m90).
Il y a des trucs qui marquent (comme « je suis qualifié sur C-140 »)… :-)
Pour être franc, je craignais un peu que ce soit toi qui ne te rappelles pas de l’histoire. C’est pour ça que j’ai rajouté un commentaire dans le corps du billet. ;-)
Et de mémoire, je dirai que ça remonte à seize ans à peu près (du moins, tu as dû me raconter ça il y a seize ans ; il me semble que c’était récent à l’époque, mais là je peux me tromper).
Pour la durée, franchement, aucune idée. Mais dans ces eaux-là, oui.
Sinon, pour être exact, c’était un C-150 mon coucou d’apprentissage (et le Hercules est un C-130, bien sûr). Je crois que tu as fait la moyenne des deux ;-)
Et je pense que j’avais juste répondu « C-150 ».
Mais c’est quand même dingue de se souvenir d’anecdotes comme ça sans les avoir vécues !
Je sais que le Cessna 140 existe, je sais que l’Hercules est un C-130, je croyais donc me souvenir correctement. Mais finalement c’était pas le cas : le dois commencer à perdre la boule… :-(
Fait pas bon vieillir…