J’ai failli avoir les gland(e)s

Tout à l’heure, je tombe sur cette notice nécrologique d’un chêne probablement victime de la rémanence des pesticides dans l’environnement. C’était déjà bien triste, mais il s’agissait d’un arbre avec lequel je n’avais aucun lien, aucun vécu, qui m’était étranger : je ne me sentais pas impliqué personnellement.
Un peu plus tard, je lis, au détour d’une explication mal rédigée ailleurs sur internet (plus précisément sur wikiblabla, où j’étais tombé à la recherche d’une info sur un sujet complètement différent), que le chêne au pied duquel je voudrais qu’on m’enterre (oui, je sais bien que ça ne sera pas possible, sauf en cas d’inhumation sauvage…) a été abattu.
Stupeur, drame ! Pour un peu, je sautais dans ma bagnole et j’allais constater moi-même…
Heureusement, il semble qu’en réalité il n’en soit rien et qu’il y ait confusion avec un autre arbre tombé en 1961 (et que je n’ai donc pas connu).
Ça m’aura au moins permis de découvrir ce sympathique blog.

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Une réponse à J’ai failli avoir les gland(e)s

  1. rappar dit :

    Le genre de blog érudit dont Pherv raffolerait de nous ramener les bonnes pages, au lieu de nous assommer avec des termes abscons joruniens… ;)

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