Kro en résumé : Condorman

Condorman
Film d’espionnage « à la James Bond » (avec gadgets, poursuites et une jolie femme) (1981)condormanUn auteur de comics américain, créateur du super-héros Condorman (qui peut voler avec de grandes ailes (artificielles) en se jetant d’un point élevé) et qui met un point d’honneur à tester les gadgets qu’il dessine, est chargé par un de ses amis qui travaille pour la CIA de convoyer des documents de Paris à Istanbul. Jouer les espions l’éclate totalement et il se présente à l’agente soviétique à laquelle il remet lesdits documents sous le nom de code de son héros. Il réussit tellement bien à l’impressionner que lorsqu’elle veut faire défection à l’ouest, elle demande à ce que ce soit lui qui l’exfiltre…
En 2007, j’en avais dit ceci sur un autre écran : « un film que j’ai vu quand j’étais gamin et dont je doute qu’il me plaise encore beaucoup si je le revoyais métnan, mais c’est un peu normal vu que c’était un film pour enfants ».
Malheureusement, j’avais oublié ces doutes. C’est bien un film pour enfants, ou jeunes ados, mais pas pour grands. C’est gentil, mais c’est beaucoup plus incohérent qu’un James Bond. En fait, le film n’est qu’un prétexte pour nous montrer des gadgets en tous genres et des poursuites. Pour le reste, les gadgets sont totalement loufoques et/ou complètement irréalistes, la CIA et le KGB font vraiment amateurs, et les agents du KGB ont visiblement un pouvoir de téléportation (ou presque), pasqu’ils ne mettent que très peu de temps à aller de Monaco (ou était ce Moscou ?) à la Yougoslavie, par exemple.
Et donc, cherchez pas, si vous n’avez pas d’enfant avec vous, vous êtes trop vieux pour regarder ça.

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