Congés : droit ou option ?

Je viens d’apprendre que mon actuel suppléant sera en arrêt maladie en novembre et décembre prochains, pour raisons chirurgicales. Ce qui ne m’arrange pas franchement, vu qu’il me reste trois semaines de congés à prendre justement sur cette période, que je vais en avoir besoin, et que je n’ai pas l’intention d’en faire cadeau à la direction, ni d’ailleurs de les reporter à l’année prochaine. Toutes choses que j’ai aussitôt fait savoir en haut lieu, sans aucune réponse pour l’instant, bien sûr.
Quand je pense qu’il y a seulement deux ans, j’avais encore une équipe de suppléants qui pouvaient se relayer quand l’un était indisponible, mais qu’on les a mis dehors de façon malpropre pour une sombre histoire de gros sous… Il n’est pas impossible que le siège leur propose un nouveau contrat, du coup, et je compte bien glisser quelques allusions dans ce sens à l’occasion. Mais il est loin d’être certain qu’ils accepteront, vu la façon grossière dont ils avaient été lourdés.

Ce contenu a été publié dans On n'a pas des métiers faciles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *