Dans l’espace en faute, c’est le grand tocsin

Si j’en crois Transes-Infos, la nouvelle du jour, c’est le décès ce matin à l’âge de 85 ans de Guy Béart.
Ça me parait quelque peu excessif comme hiérarchisation de l’information. Pour ma part, si l’on excepte L’eau vive que j’ai dû (du verbe devoir : être obligé à, même si je reconnais qu’au début j’ai trouvé ça plutôt amusant) massacrer à la flûte à bec quand j’étais au collège, je le connaissais uniquement par sa chanson Étoiles, garde-à-vous, qui donna son titre à la traduction du roman de Robert Heinlein Starship Troopers, l’un des textes majeurs de mes débuts d’amateur de (bonne) SF.

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