Trilogie de films mêlant med-fan’ et fantastique-contemporain
L’histoire sans fin
The NeverEnding Story
1984
Bastien, un gamin rêveur, « emprunte » un livre à un bouquiniste et se planque dans le grenier de son établissement scolaire pour le lire au lieu d’aller en cours. Il est de plus en plus pris par l’histoire (qui se passe sur Fantasia, un monde med-fan’ qui disparait peu à peu dans le néant, et raconte la quête d’un jeune garçon autochtone, Atreyu, pour le sauver), jusqu’à finalement comprendre qu’il doit y intervenir lui-même pour sauver Fantasia.
C’est gentil, ça se laisse plaisamment regarder, y a d’assez chouettes bestioles et marionnettes mais c’est quand même plutôt destiné à un public d’enfants (ou peut-être d’ados).
L’histoire sans fin II : Un nouveau chapitre
The NeverEnding Story II: The Next Chapter
1991 pour la sortie en France
Suite du précédent, avec des acteurs différents. Cette fois-ci Bastien ne se contente pas de lire le bouquin, il se rend carrément sur Fantasia pour la sauver (moyennant quelques aventures périlleuses), et c’est son père, angoissé par sa disparition, qui découvre que le livre raconte les aventures de son fils et les suit.
Même verdict que pour le premier épisode.
L’histoire sans fin III : Retour à Fantasia
The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia
1995
Troisième volet de la série, toujours avec des acteurs inédits. L’histoire se passe principalement dans notre monde, et c’est plus une comédie mettant en scène des ados américains qu’un film med-fan’.
Le père de Bastien vient de se remarier et s’installe avec son fils (devenu ado) chez sa nouvelle femme, qui a déjà une fille, ce qui (outre des relations tendues avec elle) veut dire nouveau quartier et nouveau collège pour le gamin, qui y retrouve comme par hasard comme bibliothécaire le bouquiniste à qui il avait « emprunté » le fameux bouquin dans les films précédents (et il est bien entendu dans la bibliothèque). Et qui dit nouveau collège dit aussi nouveaux élèves qui vont le prendre comme tête de turc, ici une bande de grands qui mettent la main sur le fameux livre et s’en servent pour foutre le souk sur Fantasia.
Bof : je ne suis pas du tout la cible pour les comédies mettant en scène des ados américains avec leurs problèmes et leur vie scolaire, qui m’ont toujours fait chier.