Fierce Creatures
(1997)
Comédie dans un zoo, avec la même équipe que Un poisson nommé Wanda, et Carey Lowell dans un rôle mineurUn magnat américain achète un zoo en Angleterre, et charge un manager ne connaissant rien aux zoos, Rollo Lee (John Cleese), de le gérer (le seul et unique but étant de faire du fric dessus, peu importent les méthodes employées). Rollo déclare au personnel qu’il ne va conserver que les animaux féroces (d’où le titre), et éliminer les autres, mais c’est en fait un faux dur qui tombe sous le charme des animaux si mignons, et du zoo dans son ensemble. Là-dessus, débarquent le fils du patron (un marketeux décidé à prouver sa valeur à son père) et Willa Weston (Jamie Lee Curtis), cadre aux dents longues envoyée prendre la place de Rollo Lee. Ce dernier, avec l’aide des animaliers, tente de sauver le zoo…
J’ai trouvé ce film regardable, et même plutôt amusant. Ceci dit, ça reste de l’humour anglais souvent absurde, ce qui ne sera pas du goût de tout le monde (et le reste du temps, c’est de l’humour graveleux), et le rôle de Carey Lowell est vraiment mineur (bien qu’elle crève l’écran à chacune de ses trop courtes apparitions).
Film vu par la faute de Vaken et de FaenyX
Waow ! Je t’ai parlé de ça quand ? En 1997 ? ^^
Ah, Carey Lowell….. *soupir*
1998. :-)
Par contre, je ne me souviens plus si c’était dans une discussion sur Carey Lowell, ou à cause de tes sigblocs aléatoires qui comprenaient un ou plusieurs extrait(s) des dialogues du film (auquel cas, la discussion avait ensuite dérivé sur Carey Lowell).
Je me souviens en tout cas comment je me suis retrouvé à visionner ce film la première fois. J’allais en solo au cinoche voir je ne sais plus quoi, et en grimpant les marches vers l’entrée, tout à coup, une sonnette d’alarme a retenti dans mon cerveau : « mais ?!!?? Je viens de passer à côté d’une photo de Carey Lowell !! ». Alors que je ne regardais pas du tout ce qui était affiché. Et je n’étais même pas au courant de la sortie de ce film. Et du coup, j’ai pris un ticket pour ce film-là plutôt que pour celui que j’étais venu voir au départ.