Coup de frein à mes projets

Le Tonnerre mécanique est en panne. Et évidemment, a fallu que ça arrive la première quinzaine d’août, quand toute la France est paralysée par la torpeur estivale (Toute ? Non ! Mais des fois, on a l’impression qu’il n’y a plus que nous qui bossons…) ; je craignais que le garage ne soit fermé, mais pas tout à fait : cette semaine il est encore ouvert, mais il n’y a qu’un seul mécano ; et il sera fermé la semaine prochaine. N’empêche que je ne peux pas vraiment attendre deux semaines avant d’être dépanné, et qu’avec un seul mécano, c’est tout de suite plus délicat.
Certes, je pourrais aller voir la concurrence, et c’est même ce que la secrétaire avait commencé par me suggérer. Mais si je ne me trompe pas, la panne, pour emmerdante qu’elle soit, est mineure, et ne nécessite pas une grosse intervention : je sais que mon garagiste habituel me dépannera pour un prix raisonnable, mais je crains qu’un autre ne me voit venir de loin et ne me fasse une grosse facture pour une réparation a priori simple (quand on connait le truc).
Heureusement, elle a finalement réussi à me caser in extremis pour samedi. Mais du coup, ce que j’avais initialement prévu pour le ouéquande tombe à l’eau, et je vais devoir rester ici.
Bah, voyons le bon côté des choses : ça me laissera un peu plus de temps pour préparer le scénar de la partie de JdR du ouéquande suivant, qui tient pour l’instant en trois phrases, ce qui est bien trop léger pour me permettre d’improviser confortablement.

Ce contenu a été publié dans Ma vie est un drame, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *