Kro en résumé : Ghost in the Shell

Ghost in the Shell
(2017)

Film de SF adapté du manga éponymeMon avis est très mitigé.
Évacuons d’entrée la polémique sur le choix de Scarlett Johansson, une actrice blanche, pour incarner le major Motoko Kusanagi, japonaise comme son nom l’indique. Certes, quelque part je trouve ça dommage, mais on peut toujours justifier ça en expliquant que, vu qu’elle possède un corps artificiel, son aspect importe peu.
Par contre, je ne trouve pas que ça fasse justice aux séries animées. Ça m’a déçu.
Mais objectivement, je dois reconnaître que, si ça n’était pas l’adaptation du manga, ce serait un film de SF post-cyberpunk plutôt bon (mais bémol, peut-être que c’est plus difficile à appréhender quand on ne connait pas Ghost in the Shell).
Très mitigé, je vous disais.
L’intrigue : la section 9 cherche à élucider les meurtres de plusieurs dirigeants d’une boîte de robotique de pointe, celle-là même qui a créé le corps du major. Tout ça, sur fond d’interrogations sur l’identité, qu’est ce qui fait qu’on est un humain et pas une machine, ce genre de choses.

Ce contenu a été publié dans J'ai pas la télé, Kros, SF, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *