La mauvaise nouvelle de la (main gauche de la) nuit

Traînant encore un peu sur internet juste au moment d’aller me coucher (un peu trop tard, encore une fois…), je tombe avec stupéfaction sur l’annonce du décès ce lundi de la très talentueuse auteure de SF Ursula K. Le Guin. Elle aurait eu 89 ans cet automne.
Je crois bien qu’avec elle disparait la dernière grande plume de mon propre âge d’or de la SF (avant que je ne passe au cyberpunk, puis à la hard science). Et même si je connaissais moins bien son œuvre (j’ai encore plusieurs de ses bouquins en attente de lecture, n’ayant toujours pas fini son cycle de la Ligue de tous les mondes dont j’ai pourtant lu les premiers volumes il y a une trentaine d’années), ça me fout presque autant les boules que la mort de Jack Vance il y a près de cinq ans (même si je manque de temps à cette heure avancée de la nuit pour lui dédier un billet aussi détaillé). Ça faisait pourtant quelques années que je me disais que ça finirait par arriver tôt ou tard ; mais quand même…

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