Les lions ! Les lions !

Rêve marquant la nuit dernière. Je n’en ai pas pris de notes au réveil, mais je m’en souviens suffisamment bien pour pouvoir en raconter l’essentiel.
J’étais à nouveau étudiant (avec entre autres de mes camarades de promo un de mes anciens colocs et le Kiki de tous les Kikis ; mais aussi je pense des gens qui ont fait leurs classes avec moi), ça se passait dans une ville qui était peut-être Libourne (une ville dans laquelle je n’ai pas remis les pieds depuis plus de vingt ans, et qui, pour le peu de souvenirs que j’en ai, était plate, alors que la ville de mon rêve avait un relief plus pentu.
Je vous passe divers évènements mineurs dont je n’ai plus guère de souvenirs, mais à la fin du rêve, la promo se retrouvait dans une grande salle (avec des gradins un peu comme un amphi) chez un riche particulier qui nous avait invités. Mais, assis à côté de nous sur les gradins, il y avait aussi les animaux familiers dudit particulier : une tripotée de lions ! Le gars nous avait assuré qu’on n’avait rien à craindre, et il nous faisait servir des boissons. Mais méfiant, je faisais goûter ma bière, dont j’étais persuadé qu’elle était (comme tout le reste de ce qu’on nous servait) droguée avec un narcotique, par mon voisin, qui me confirmait qu’elle avait un drôle de goût. Le plan du type était de nous droguer, d’éteindre la lumière (ce qui n’aurait pas eu beaucoup d’effet, vu qu’on était en plein jour) et de laisser ses lions nous dévorer. Je ne sais plus comment on a fait pour éviter cette fin malheureuse (j’avais repéré la drogue, donc, et quelqu’un était arrivé de l’extérieur (peut-être le facteur ?) au moment où le malfaisant allait éteindre la lumière ; et du coup, les gendarmes étaient arrivés pour l’embarquer.

Accessoirement, j’avais eu un peu de mal à m’endormir, car à peine étais-je couché que, je ne sais pourquoi, je cherchais à retrouver le prénom d’une des filles d’amis de mes parents que je n’ai pas revue depuis environ 35 ans je pense. J’arrivais sans peine à me souvenir de ceux de ses sœurs, mais pas du sien. Et ça m’avait travaillé un moment.
Mais je me suis réveillé en pleine nuit et ce qui m’est alors venu à l’esprit était son prénom et son nom. Comme quoi, je ne perds pas encore complètement la boule…

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