Rentrant du boulot tout à l’heure, après quelques péripéties que je vous narrerai dans le prochain billet, j’ai eu la surprise de trouver dans ma boîte aux lettres un nouvel avis du passage du transporteur privé qui était déjà passé hier et à qui j’avais demandé de repasser la semaine prochaine.
C’est sympa d’avoir refait une tentative, mais si j’ai demandé à ce qu’il repasse la semaine prochaine, c’est que je savais pertinemment qu’aujourd’hui, je ne serais pas à la maison s’il se pointait.
Du coup, je me demande si l’info a bien été transmise… et si j’ai une chance d’avoir mon colis le jour souhaité. Je sens que ça va durer un certain temps. Pourvu qu’ils ne le renvoient pas aux États-Unis, ça ne me ferait pas du tout rigoler.
Et en consultant ma messagerie une fois rentré, j’ai découvert un message d’un gros vépéciste portant le nom (en anglais) d’un fleuve sud-américain, m’annonçant que le transporteur d’un colis qui devait m’être livré aujourd’hui le leur avait retourné. Comme ils ne m’indiquaient pas le motif du retour, comme le transporteur en question est la Poste, et comme le facteur était bien passé aujourd’hui, ça me paraissait très bizarre. Et comme je disposais du numéro de suivi, je suis allé voir sur leur site ; où j’ai découvert que le colis ne leur avait tout simplement jamais été remis par ledit vépéciste :
Et comme ils n’étaient plus à ça près question foutage de gueule, la suite du message m’invitait, si je voulais toujours recevoir l’article commandé (un disque), à, je cite, « vérifier [mon] adresse et passer une nouvelle commande ».
Sauf que le disque en question est désormais indiqué comme indisponible sur leur site.
Tant pis pour eux, je vais le commander ailleurs. Et j’espère qu’ils ne vont pas traîner à me rembourser.
« Un message d’un gros vépéciste portant le nom (en anglais) d’un fleuve sud-américain »… putain, j’ai mis un moment à comprendre, jsuis vraiment nul !