Noyons notre chagrin dans l’alcool

Si je comprends bien les derniers effets de manche du premier sinistre, pour la macronie, la France rurale n’est bonne qu’à picoler pour oublier qu’elle est une fois encore laissée pour compte par les élites qui prétendent nous gouverner (sans gouvernail).
Eh guignol, c’est pas de troquets qu’on a besoin dans nos campagnes, c’est du retour des services publics : bureaux de poste, écoles, perceptions, gares, et j’en passe…

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