Les chevaliers de la pastèque

Rêve pour le moins particulier la nuit dernière. Comme il concerne certains habitués des lieux, j’ai essayé d’en conserver suffisamment de souvenirs pour vous le raconter dans ses grandes lignes.
Tonton Alias racontait (sur son blog ? en vidéo sur Radio Erdorin ?) une convention (de JdR ?) à laquelle il venait d’assister.
À Clermont-Ferrand, en sortant de la gare pour se rendre à pied jusqu’à la convention, il tombait sur un groupe de gens déguisés en armures futuristes. Parmi ceux-ci, deux portaient des armures faites à partir de pastèques évidées (l’un était Mithriel, l’autre a priori un bon vieux pote de promo adepte du cui qui tue). Et moi (qui apparemment assistais aussi à la scène), je me demandais vraiment (et à plusieurs reprises dans le rêve) comment ils faisaient pour ne pas tacher de jus de pastèque leurs vêtements et tout ce qu’ils touchaient. Tout ce petit monde était déguisé ainsi pour soutenir un compétiteur (en vraie armure). Était ce un cosplayeur qui se rendait à un concours à cette fameuse convention ? Ou allait il prendre le train à la gare ? Sans doute la première solution, car Alias nous expliquait que quand il tombait sur des hurluberlus dans ce genre alors qu’il allait à une convention, il les suivait : il était ainsi certain d’arriver à bon port sans avoir besoin de chercher son chemin.
À un moment du parcours, les gens en armure se livraient à une chorégraphie particulière.
Puis on arrivait devant le lieu de la convention, un bâtiment dont la porte était murée par des parpaings (mais pouvait s’ouvrir quand même, le bloc de parpaings, probablement bien plus large que la porte originelle et par ailleurs pas rectangulaire, pouvant pivoter). L’entrée coûtait 31 euros. Le gars devant la porte qui filtrait les entrées ressemblait à un autre de mes camarades de promo, un chevelu adepte de la fumette à qui il devait son surnom (à l’époque ; l’ayant perdu de vue depuis, j’ignore si on l’appelle encore ainsi), mais je ne pense pas que c’était lui. En tous cas, il était (le type du rêve, mais sans doute pas mon camarade bédaveur) capable de donner de vive voix des explications pendant que son interlocuteur lui avait enfoncé un doigt dans la bouche.
Malheureusement, mon rêve (ou du moins les souvenirs que j’en ai gardés) s’arrêtait là, donc je ne sais pas ce qui se passait dans cette fameuse convention. Mais je suppose qu’on aura sous peu le compte-rendu de Tonton Alias, accompagné d’une pittoresque série de photos…

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