Kro en résumé : Le monde inverti

Le monde inverti
Christopher Priest
Calmann-Lévy
Presses Pocket SF 5279
ISBN 2-266-02139-7
© Calmann-Lévy, 1975
V.O. : The Inverted World, © Christopher Priest, 1974
311 pages

Grand classique de la SF des années ’70

Le roman met en scène une ville gigantesque qui se déplace sur des rails, qu’on retire derrière elle pour aller les remettre devant, en direction d’un mystérieux optimum situé quelques kilomètres plus loin et qui se déplace lui aussi. Les habitants de la ville ignorent qu’elle se déplace, sauf ceux qui sont membres des guildes qui assurent son déplacement, comme le personnage principal, Helward Mann, un jeune homme qui vient juste d’entrer comme apprenti dans l’une d’elles. Il va découvrir progressivement qu’à l’extérieur de la ville la physique obéit à des lois pour le moins particulières plus on s’éloigne de l’optimum. À moins que ce ne soit sa perception du monde qui est erronée…
C’est… particulier. C’est moins fumé que du Dick, mais ce n’est pas le genre de SF que j’apprécie de lire.
Notez au passage que la célèbre phrase « J’avais atteint l’âge de mille kilomètres » n’est pas, contrairement à ce qu’on dit souvent, l’incipit du bouquin : c’est simplement la première phrase du premier chapitre, mais ce dernier est précédé par un prologue de trois pages. Le véritable incipit est : « Elisabeth Khan sortit du dispensaire et referma la porte à clé ».

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