En images ici.
Le problème, c’est que c’est souvent le premier qui leur raconte n’importe quoi (ou qui alimente leurs peurs) qu’ils croient ; et après, pour les faire changer leur avis idiot, y a pas moyen (j’en ai moi-même fait l’expérience hier avec une eurosceptique à qui j’ai pourtant expliqué que sans l’Europe, elle serait au chômage, puisque travaillant dans un secteur qui n’existerait plus chez nous ; mais comme il suffit de généraliser à partir d’un exemple non représentatif pour se faire une opinion bien arrêtée sur n’importe quel sujet, au lieu de faire l’effort de se documenter et de vérifier la véracité des affirmations-choc qu’on nous assène, j’ai perdu tout espoir de faire réfléchir mes concitoyens).
Je me demande si je ne vais pas finir par devenir extinctionniste, à force d’être confronté à la connerie humaine…