Faut pas se plaindre, on a du boulot

Il y a deux ans, la question de ma mutation jusqu’à mes terres natales (à quelques kilomètres près, au lieu de quelques dizaines actuellement) s’était posée. Et après mûre réflexion, j’avais décidé de rester ici, choix qu’il m’est arrivé à plusieurs reprises de regretter un peu d’avoir fait.
Mais vues les dernières informations eues ce matin sur la (mauvaise) santé économique du site de là-bas… j’ai encore une fois la confirmation que mon choix était certainement le bon, professionnellement en tous cas. Pour un éventuel rapatriement définitif, on attendra sagement la retraite.

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