Aussi loin que porte le regard…

Comme j’en suis encore à prendre en main l’interface du blog, il fallait que j’essaie l’insertion d’images.
Quoi de mieux pour cela qu’un petit dessin réalisé suite à une scène vécue lors du comité de direction de la semaine dernière ?

C’est certes pas terrible, je n’ai pas réussi à rendre l’impressionnante perspective devant laquelle j’étais placé, et le visage n’est pas du tout ressemblant (mais pour ça, il aurait fallu que je travaille d’après photo) ; mais ce n’est que le deuxième dessin que je fais depuis mon accident ; et ceux qui ont vu le précédent dessin (sur le même thème) constateront qu’il y a eu un peu de progrès…

La vanne, je ne l’ai pas sortie. C’est pas l’envie qui m’en a manqué, notez bien (surtout que, vu qu’elle était déjà bien penchée pour manipuler l’ordinateur, elle n’aurait pas eu assez d’allonge pour réussir à me coller une baffe) : mais ce genre de situations, c’est comme quand on observe un animal sauvage : si on fait le moindre bruit, on risque de l’effrayer, et pfuit, envolé, disparu. Tandis que là, le bestiau s’est pavané deux fois en toute insouciance juste devant moi…

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