Je vous avais expliqué avant-hier qu’on pouvait trouver des relents nauséabonds au roman de Dan Simmons Olympos.
Sur les forums du Cafard Cosmique, son (ancien) traducteur attitré, Jean-Daniel Brèque, explique de quelle manière Simmons a mis fin à leur coopération. Et semble au passage confirmer que ledit Simmons a effectivement des idées nauséabondes.
De là à penser que ces idées ont fini par transparaître dans son œuvre, il n’y a qu’un pas facilement franchi.