Sale temps pour les vieux

Parlant de météo ce matin au boulot avec trois de mes collègues, j’ai évoqué feu Albert Simon.
Ce qui ne m’a attiré que des regards d’incompréhension accompagnés de la même exclamation spontanée « Qui ça ? ? ? » de la part de deux d’entre elles, ayant pourtant toutes les deux entre trente et trente-cinq ans.

Une fois encore, j’ai pris un coup de vieux.
Heureusement que la troisième, et doyenne de l’équipe, s’en souvenait. Car sinon, je me serais vraiment senti bien seul… et bien vieux.

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