Romans de gare

En découvrant tout à l’heure la nouvelle planche de Boulet, je me suis dit qu’il avait dû lire la Belgariade : car ce qu’il décrit m’a rappelé des souvenirs de ma pénible lecture il y a bientôt vingt ans des quatre premiers volumes du machin d’Eddings (à la suite de quoi, mon « fournisseur » n’ayant pas pu me prêter le cinquième tome dans la foulée, j’ai jeté l’éponge).

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