Ça fait plusieurs fois que, passant commande de disques chez un vépéciste internaute quasiment incontournable dont je ne mentionnerai pas l’hydronyme, un délai de livraison initialement annoncé comme étant de quelques semaines se transforme en calendes grecques.
Je trouve ça d’autant plus agaçant lorsqu’il s’agit de disques sortis quelques semaines ou mois auparavant seulement, surtout lorsqu’il suffit de franchir le Rhin d’un clic de souris pour les commander chez leur homologue allemand, où ils sont immédiatement disponibles, et qui plus est, moins chers.
Le seul inconvénient étant alors le montant élevé des frais de port, même si souvent la différence avec le montant de la facture française est faible au final. Mais je rêve d’une union postale franco-allemande qui me permettrait de m’affranchir de l’amateurisme de la branche française du magasin en question.