Un JdR ne vaut que par ce qu’on en fait

Even the best-designed game cannot rescue a poor gamemaster, while a good gamemaster can produce a compelling experience for his players even with an incomprehensible set of rules and the most inane of story lines.

Greg Costikyan, Bestial Acts

J’ai souvent dit moi aussi qu’il n’y a pas de mauvais JdR, seulement des mauvais MJ, et qu’on peut faire des choses superbes même avec des JdR qui à la base ne s’y prêtent guère, n’en déplaise à certains snobs…

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3 réponses à Un JdR ne vaut que par ce qu’on en fait

  1. Vaken dit :

    Le domaine est différent, mais Sieff avait coutume de dire que ce n’est pas l’appareil qui fait la bonne photo, c’est le photographe.

  2. Marcilly "c'est où" le Chatel dit :

    C’est malheureusement souvent un cache misère pour les gars qui pondent des règles inexploitable ou des scénarios rachitiques…

    • Imaginos dit :

      Aussi.
      Mais l’inverse est une critique snob souvent chiée sur la tête d'(A)D&D dans les années ’90 (tu peux remplacer (A)D&D par un paquet d’autres jeux, à règles lourdes (prendre les catalogues FGU ou ICE pour des exemples), à création de perso longue (GURPS), à thème jugé inintéressant, bref, tous les jeux qui ne sont pas « tendance » ; (A)D&D étant le plus connu, c’est lui qui s’attire le plus ce genre de réflexions, raison pour laquelle je le cite en premier). Et c’est en réaction à cette critique facile mais infondée que j’ai relevé cette citation.

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