Il faut travailler pour vivre, et non vivre pour travailler

Eu mon entretien annuel avec mon chef ce matin.
Seule note négative dans l’affaire, il m’a été reproché à plusieurs reprises de ne pas avoir accepté de participer à cette fameuse réunion parisienne l’été dernier. Si l’entretien avait eu un réel enjeu, j’aurais même pu dire que j’ai été sacqué à cause de ça ; mais comme c’est un truc qui ne sert pas vraiment à quoi que ce soit, et dont le compte-rendu va aller moisir au fond d’un placard sans que personne ne le lise jamais, je n’ai pas eu envie de me fatiguer à me défendre pied à pied.
Mais critiquer un type qui a voulu privilégier sa vie personnelle au lieu de se la bousiller en s’investissant bénévolement dans du travail en plus, quand on va soi-même sous peu changer de poste pour en rejoindre un avec moins de responsabilités, donc moins d’emmerdes, j’ai trouvé ça un peu gonflé.

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