À consommer jusqu’en : janvier / février 2012

Ayant été plutôt agréablement surpris par le premier numéro de « Casus Belli » quatrième version, je me suis procuré aujourd’hui le second, qui vient de paraître.
Et comme ça avait été le cas pour le premier, je vais avoir du mal à le lire : je l’ai feuilleté, mais y a pas à dire, je ne le trouve pas attirant et il va falloir que je fasse un effort pour rentrer dedans. Effort qui n’est pas dans mes priorités du moment.
Mais j’ai quand même déjà deux trucs à en dire, et bien entendu, c’est pour râler :

D’abord, il porte la mention janvier | février 2012. Nous sommes le 15 mars et il n’est à ma connaissance sorti qu’il y a quelques jours seulement. Bon, OK, c’est anecdotique, la plupart des revues de JdR ont connu ce genre de décalage temporel…

Mais ce qui m’a plus chagriné, c’est les pages consacrées aux nouveautés anglo-saxonnes. Je suis certes fort aise qu’elles fassent leur réapparition, éprouvant dans l’ensemble un désintérêt profond pour la production rôludique franco-française ; mais non seulement elles sont réduites à la portion congrue (deux pages), et donc inévitablement lacunaires (rien sur Traveller dans le paragraphe consacré à Mongoose, par exemple), mais sans même les avoir lues en entier, je suis tombé sur cette affirmation quelque peu étonnante :

[Issaries] vient de faire paraître The Sartar Companion pour le système de jeu HeroQuest.

Sauf que ce bouquin, à défaut de l’avoir lu (et je doute de le lire dans les quelques années qui viennent), je l’ai depuis à peu près un an dans ma ludothèque. À ce niveau de décalage, ce n’est même plus de l’information réchauffée, c’est carrément du périmé. Et dans le même temps, rien n’est dit du futur supplément sur Pavis, dont la parution est en principe incessante.
Bref, peut (et doit) mieux faire.

Mais nous en reparlerons mieux quand j’aurai réussi à me forcer à le lire.

(pour finir quand même sur une note positive : la planche de Kroc le Bô, malgré son format réduit imposé par la taille rikiki des pages du canard, m’a fait sourire)

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