Vivement les vacances, tiens !

Pourquoi faut il, le jour où je rentre de vacances bien courtes et qui ne m’ont même pas permis de me reposer, que ce soit le bordel à l’usine, que la collègue qui a assuré ma suppléance lundi dernier (et qui n’est pourtant autre que la chef de service par intérim) m’a laissé un beau merdier à dépatouiller qu’elle aurait pu (et dû) gérer elle-même quand elle est venue, qu’une machine tombe en panne et nous contraigne à un arrêt de chaîne imprévu, que je sois noyé sous la paperasse à gérer et les courriels à lire, et qu’en plus de ça, il y ait beaucoup de boulot (semaine de quatre jours oblige, on va faire en quatre jours ce qu’on fait d’ordinaire en cinq) ?
Heureusement, mon équipe n’était pas en sous-effectif, la collègue qui vote pour la fille du borgne n’est pas là avant lundi prochain (ça évitera toujours les discussions de sourds à chaud juste après les élections), et surtout en rentrant tout à l’heure j’ai trouvé le nouveau Yotangor dans ma boîte aux lettres. Que l’on fasse silence pendant que je me repose de ma journée harassante en l’écoutant !

Ce contenu a été publié dans On n'a pas des métiers faciles, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *