Duas habet et bene pendentes

Ratzinger a annoncé ce matin qu’il renonçait au pontificat.
C’est une décision inattendue et sans doute pas facile à prendre (fallait avoir les couilles de le faire, d’où mon titre), mais comme ça il aura au moins fait un truc bien à mes yeux.
Reste à savoir si c’est un autre affreux conservateur rétrograde formolé qui va lui succéder (je ne sais pour quelle raison une de mes collègues ce matin, pourtant loin d’être une grenouille de bénitier, était persuadée que l’ancien évêque du pays était bien placé pour avoir le poste, ce dont pour ma part je doute fort), ou si l’Église va tenter une ouverture (sans doute bien timide si elle a lieu, mais sans vouloir faire de mauvais jeu de mots, Rome ne s’est pas faite en un jour).

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2 réponses à Duas habet et bene pendentes

  1. Mithriel dit :

    Ratzinger… Un vrai nom de méchant dans James Bond, ça…

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