Ça ne sent pas que le renfermé

L’un des problèmes auxquels on est exposé quand on achète des bouquins (de JdR ou autres) d’occase, c’est que leur précédent propriétaire, ou simplement les conditions dans lesquelles ils ont été stockés, peuvent leur avoir conféré une odeur particulière et pas toujours agréable.
Ainsi, je viens de rentrer un supplément pour Ketulu dont les pages puent le tabac froid. C’est la première fois que ça m’arrive, mais j’espère aussi que ça sera la dernière. Et je n’ai aucune idée de la façon dont je pourrais lui faire perdre son odeur (j’avais essayé il y a bien longtemps, pour mon tout premier supplément d’occase qui avait une odeur particulière et plutôt désagréable, d’y faire sécher des feuilles de menthe, plante qui poussait abondamment dans notre jardin à l’époque ; mais ça n’avait pas eu beaucoup d’effet, même si le bouquin a finalement beaucoup perdu de son odeur, plus de vingt-cinq ans plus tard).

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4 réponses à Ça ne sent pas que le renfermé

  1. Mithriel dit :

    Utiliser le bouquin lui fait perdre un peu de son odeur… ;-)

  2. 賈尼 dit :

    Faut le laisser ouvert sous un soleil de plomb.

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