Eh ben voilà !
Hier matin j’avais râlé au sujet de ma tondeuse et posé un ultimatum au réparateur.
Ce matin, le gars m’appelle pour me dire que si je veux, je peux passer la chercher cet aprème (donc une journée avant la fin de l’ultimatum).
J’en ai quand même eu pour presque trente brouzoufs. Quant à savoir si la réparation va tenir… je pense qu’on saura à quoi s’en tenir demain, puisque j’ai la ferme intention de me farcir la tonte du terrain entier (hors potager, évidemment).
Mais c’est quand même malheureux de devoir râler pour obtenir son dû, en ce bas monde…
(sinon, je suis aussi allé commander mes nouvelles étagères ; et contrairement à ce que je craignais, vu que la dernière fois j’étais tombé sur un vendeur qui n’avait pas l’air très compétent, ça s’est très bien passé : c’était une petite jeune, mais elle n’a eu aucun problème pour trouver la bonne référence dans la couleur que je voulais. Reste à attendre quelques semaines pour qu’elles arrivent en magasin… S’il n’y a pas de délai imprévu, je devrais pouvoir gérer ; à moins évidemment que Mongoose ne nous sorte à l’improviste un nouveau bouquin pour Rikki-Tikki-Traveller, car l’étagère est vraiment pleine)
Concernant ta vendeuse : on a parfois des a priori malheureux, il faut bien dire.
Dans un magasin de bricolage, une fois, je cherchais parmi un tas de produits celui qui me conviendrait le mieux. Arrive une « petite jeune fille » qui me demande si elle peut m’aider. Poli, je lui explique mon problème en me disant qu’une étudiante (me suis aperçu plus tard qu’elle n’était pas étudiante du tout, mais bon) va me répondre qu’elle n’en sait rien ou va appeler un collègue à la rescousse à qui je vais devoir répéter tout mon baratin. Et, Ô surprise, après m’avoir patiemment écouté jusqu’au bout, elle m’a pêché d’un coup dans le rayon exactement le truc dont j’avais besoin (ou plus exactement, la combinaison des deux trucs dont j’avais besoin).
J’ai dit merci et je me suis dirigé vers la caisse en me disant que j’étais un vieux con rétrograde.
Oh, t’inquiète pas, j’avais aucun a priori, ou en tous cas aucun a priori lié à la vendeuse : je m’attendais à ce que ce soit calamiteux quel que soit le vendeur. ;-)
Sinon, pour une expérience similaire à la tienne qui m’a je l’espère guéri de ce genre de préjugés : la dernière fois que j’ai acheté de la motoculture, je rentre dans le magasin et il n’y avait qu’une femme, derrière le comptoir. J’explique ce que je veux, et là je m’attendais à ce qu’elle m’appelle un vendeur. Mais elle est sortie de derrière son comptoir et elle m’a géré tout l’aspect technique de la vente. Je me suis fait à peu près la même réflexion que toi… ;-)
(du coup, quand j’ai porté ma tondeuse à réparer il y a quelques semaines (dans un autre commerce), comme c’est une femme qui m’a accueilli dans le magasin, je lui ai expliqué direct mon problème, et j’ai carrément été déçu quand elle m’a dit « faut voir avec mon mari… » (j’ai été encore plus déçu par le mari, évidemment, mais je crois l’avoir déjà expliqué… enfin bon, la tondeuse fonctionne, je rentre à l’instant de jouer les Attila).
Eh bien moi j’ai demandé à la jolie vendeuse de la fnac s’ils vendaient des PC portables linux et elle m’a dit qu’ils ne faisaient pas cette marque-là !
D’un autre côté, ça fait longtemps que les vendeurs de la FNAC ne connaissent plus grand chose à ce qu’ils vendent. :-\
Ah ! Il est loin le temps où il y’avait de bon disquaires à la FNAC. Il reste dans certaines FNAC quelques Libraires (pas des vendeurs, des libraires…).