Pollution de l’air intérieur

Ces derniers jours, la pollution de l’air intérieur (des bâtiments) et ses conséquences délétères étaient à la une de l’actualité.
Ce ouéquande, l’escalier intérieur de l’usine (celui qu’on prend un paquet de fois dans la journée pour faire la navette entre le bureau et la chaîne) a été repeint. Avec entre autres conséquences une odeur persistante qui laisse préjuger d’un certain nombre de saloperies résiduelles dans l’air ambiant.
Mais au lieu d’aérer, en ouvrant grand la porte donnant sur l’entrée du bâtiment et la porte extérieure de ladite entrée, et également la trappe de désenfumage, histoire de faire courant d’air, « on » (j’ignore qui c’est) n’a rien trouvé de mieux que d’ouvrir la porte de communication en haut de l’escalier, donnant sur le couloir de la partie administrative (couloir dépourvu d’ouvertures donnant sur l’extérieur).
Histoire sans doute que les saloperies diffusent bien un peu partout dans cette zone aussi, afin qu’on puisse en profiter plus longtemps…

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