Ça s’appelle se tuer à la tache

Après de longs mois de discussions, nous avons réussi à nous faire fournir pour le boulot (moyennant finances, évidemment) des ticheurtes pour compléter nos uniformes (avec la prestation lavage qui va avec, évidemment).
On ne les attendait plus, mais ils sont arrivés avec la livraison de linge propre de cette nuit. Ce qui tombait fort bien pour moi, puisque j’ai dû me rechanger deux fois dans la matinée, suite à des projections imprévues mais désagréables (et malodorantes) de fluides sous pression.
Heureusement que tout est arrivé aujourd’hui, et que demain en principe je n’ai pas à descendre dans l’usine pour cause de réunion (qui sera sans doute en grande partie stérile, mais c’est un autre problème) : sinon, je risquais de me retrouver à court de linge propre alors qu’on vient juste d’être livrés !

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2 réponses à Ça s’appelle se tuer à la tache

  1. Marcilly "c'est où" le chatel dit :

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