Rêves gigognes

Encore une fois, j’ai rêvé la nuit dernière que je rêvais. Et que le rêve en question était tellement intéressant qu’il méritait que je le raconte ici-même, donc que je me dépêchais au réveil d’en prendre note (j’en avais même à peu près deux pages de notes).
Quand je me suis réveillé (pour de vrai, pas dans mon rêve), je trouvais toujours mon rêve dans le rêve suffisamment intéressant pour être raconté. Mais il était près d’une heure avant l’heure normale du réveil, je n’avais pas suffisamment dormi (couché tard, réveillé plusieurs fois, et pourtant le coq du voisin, qui ces derniers temps avait pris l’habitude de pousser des vocalises de stentor à partir de trois heures du matin, ne m’avait presque pas emmerdé), et effectivement, prendre des notes suffisantes m’aurait demandé d’y passer un certain temps, temps que je préférais consacrer à essayer de retrouver un peu de sommeil pour quelques dizaines de minutes. Et même si en me levant, j’en avais encore un assez bon souvenir, bien entendu ce soir ce n’est plus du tout le cas.
Je me souviens que j’étais avec mon adjointe et l’adjoint à la cheffe de service, en pleine campagne (dans des champs cultivés me semble t-il, séparés par des fossés remplis d’eau) et qu’on essayait de ne pas se faire repérer par des drones (drones qui étaient peut-être armés, je n’en suis plus certain à cette heure-ci). Sauf que l’adjoint à la cheffe de service était de mèche avec les utilisateurs des drones, ce qui nous compliquait nettement la tâche (il me semble en outre que nous étions au courant de sa duplicité, mais qu’il ne fallait pas qu’on lui montre qu’on le savait).

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