On est sortis de l’ornière, au moins pour cette fois

J’ai oublié hier de vous donner des nouvelles du fameux colis que je désespérais de récupérer un jour.
Voyant que le colis était toujours au même endroit depuis le 13 janvier (selon leur site), j’avais envoyé lundi dernier une réclamation au transporteur (celui qui a racheté le transporteur originel), qui m’avait renvoyé aussitôt un msg automatique dans lequel ils s’engageaient à me répondre sous 24 heures. Chose que bien entendu, ils n’ont pas faite, ni sous 24 heures, ni à l’heure où je rédige ceci.
J’avais auparavant eu un remboursement du vendeur (contre qui j’ai énormément de griefs pour tout un tas d’autres raisons, mais ça je vous en parlerai ptêt une autre fois), donc ça n’était plus vraiment crucial. Je m’apprêtais donc à considérer ce fameux colis comme perdu, et à devoir commander à nouveau le bouquin d’ici quelques jours, mais hier soir en rentrant crevé du boulot, j’ai trouvé dans ma boîte aux lettres un mystérieux paquet. Paquet qui s’est avéré être le colis en question. Vous savez bien, celui qu’ils n’avaient pas pu me livrer car je n’étais pas là quand ils passaient… (et qui passait donc pour sa part aisément par le volet de la boîte aux lettres).
Tout est bien qui finit bien, donc, et le bouquin (pas exagérément cher certes) ne m’aura finalement rien coûté, c’est donc toujours ça de pris. Mais tout ce bordel pour un colis qu’ils ont fini par simplement glisser dans ma boîte aux lettres sans autre forme de procès, plus de quinze jours après leur premier passage, ça n’est pas ça qui va améliorer l’image déplorable que j’ai des transporteurs privés.
Comme je le disais dans mon précédent billet sur le sujet :
La Poste, c’est ptêt un poil plus cher, mais au moins c’est simple et efficace.
Et nettement plus rapide, aussi.

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