On enchaîne comme d’habitude avec le bilan musical de l’année écoulée (oui, je sais que j’ai beaucoup de retard dans ma présentation des derniers albums sortis ; mais je ne désespère pas de le rattraper dans les jours qui viennent).
Côté décès, j’en ai relevé 23 sur cet écran, dont Philippe Giordana, Jerry Lee Lewis, Christine McVie, Burke Shelley, Alec John Such et Vangelis.
Je n’ai pas tenu le compte des dissolutions. J’ai noté que Nightmare avait encore changé de hurleuse, on attend de voir ce que va donner la nouvelle. Barbara Mogore.
L’année n’aura pas été prolifique, avec seulement 47 sorties passées au-dessus de mon radar (dont trois que j’attends toujours de recevoir (mais j’ai pu en écouter deux sur les trois, et je serais extrêmement surpris si la troisième venait perturber mon classement). Et parmi ces disques, aucun ne s’est vraiment distingué du lot.
L’album de l’année sera donc Carpe Diem, de Saxon (qui n’avait plus eu d’album de l’année depuis 2007) :
Il devance de peu The War To End All Wars, de Sabaton (présenté dans le même billet).
Parmi les autres albums du haut du panier en 2022, citons par ordre alphabétique des groupes ou des artistes : Angel Nation, Battle Beast, Blind Guardian, Mastercastle, Joe Satriani et Stratovarius.
Ma découverte musicale de l’année est The Prize, le nouveau groupe de Magali Luyten.
Côté retours, il y aura eu celui de Steelover, dont le nouvel album ne m’a pas déplu (mais mon camarade Barbare ne semble pas être du même avis).
Je vous passe l’énumération de mes propres déceptions, entre autres pasqu’il m’en reste quelques-unes à vous présenter.
Et voilà pour l’année musicale 2022…