Un troisième coup de rétro sous le radar

On poursuit le rattrapage des albums restés sous le niveau de mon radar, avec trois disques de groupes de metal français à voix féminine.

L’aube de l’espoir, de Somnir :

C’est leur premier disque (un maxi), du metal avec une voix féminine et une voix masculine gutturale. Je l’ai trouvé inégal, et plutôt bof dans l’ensemble.
Extrait :

Le crépuscule d’une reine, de Lux :

C’est leur premier album, un album concept de symphonic metal chanté en français où la narratrice (enfin, la chanteuse) raconte qu’elle a vécu la vie de Marie-Antoinette. J’ai pas spécialement aimé le thème, n’ayant ni de sympathie particulière pour Marie-Antoinette ni goût pour la royauté. Et musicalement, ça n’a rien d’original.
Extraits :

Bad Queen, de Raspy Junker :

C’est leur deuxième album (je ne connais pas le premier). Chanté en anglais, il est banal dans l’ensemble, mais avec un ou deux morceaux sympas.
Extraits :

La suite demain…

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