Parmi les sorties musicales récentes, il y en a aussi quelques-unes qui sont restées en-dessous du niveau de mon radar. Par exemple Horns and Hammers, d’Ignitor, toujours avec Jason McMaster au crachoir :
Celui-là, je l’ai même trouvé carrément bof. Pas de clip pour l’instant, mais y a ces deux machins là :
Reçu les résultats de ma prise de sang annuelle. Comme d’hab’, tout est dans les clous (et pourvu que ça dure !). Mais y a un truc qui m’a amusé, c’est mon hématocrite, qui atteint la limite supérieure de la fourchette de valeurs normale. En faudrait pas beaucoup plus pour qu’on m’accuse de me doper… Enfin, ça ne m’a amusé que fugitivement : pasqu’à bien y regarder, ça doit être une conséquence de cette saloperie de covid d’il y a trois ans, et c’est juste mon organisme qui compense certaines des séquelles que la maladie m’a laissées. Bref, je ne crois pas que je referai des exploits dans les sports d’endurance…
Shannon Appelcline fait un gros panorama des zines gloranthiens (y a pas Broos dedans…), et Fred Sapp nous présente la nouvelle édition de Star Trek Adventures :
Rien trouvé de notable dans ma veille internet du soir, donc j’en ai profité pour faire une petite mise à jour de mon site, portant principalement sur la BDDI : vous pouvez désormais vous documenter sur Desaekhe, Xulfor ou Yarhfahl, comme sur les Ael Yael, les Githiaskio ou les Jgd-Il-Jagd… (au passage, pourquoi diantre avoir eu l’idée stupide d’affubler d’un nom imprononçable une espèce ET qui ne parle pas (donc à propos de laquelle on ne peut pas se planquer derrière l’argument « C’est comme ça qu’ils s’appellent eux-mêmes ») ?)
Septième film de la série Alien, dont l’histoire se passe entre les deux premiers films
Sur une colonie minière de la Weyland-Yutani, qui empêche arbitrairement ses ouvriers de quitter les lieux une fois les objectifs initiaux de leurs contrats réalisés, un groupe de jeunes mineurs échafaude un plan pour s’en aller : ils ont détecté en orbite autour de la planète une station spatiale abandonnée contenant des capsules de cryogénie, ils vont donc s’y amarrer, récupérer des capsules, les installer à bord de leur propre vaisseau, et foutre le camp. Sauf que cette station a servi à étudier l’alien du premier film, retrouvé dans l’espace après son éjection par Ripley, que bien entendu, les choses avaient mal tourné pour les chercheurs, et que bien entendu, elles vont mal tourner ici encore. C’est inégal. Il y a quelques trucs sympas (des allusions aux deux premiers films principalement, dont des répliques reprises telles quelles ou un synthétique qui ressemble à Ash), mais dans l’ensemble le film est très moyen. Il n’arrive absolument pas à faire flipper le spectateur (qui est de toutes façons blasé par les précédents films et n’arrive pas à se préoccuper de la survie des personnages), si vous aviez trouvé pas terrible l’hybride d’alien et d’humain du quatrième volet vous allez être affligés par celui du présent film, et je me demande d’où peuvent bien sortir tous ces chest-bursters alors que le matériel de départ dont disposaient les scientifiques était un unique alien non-reproducteur. C’est regardable, mais pas terrible. Ça reste meilleur que Prometheus, mais ça n’était pas très difficile. Peut-être qu’un spectateur découvrant la série Alien avec ce film serait d’un avis différent…